Gabrielle's Cock-and-bull Story

 Un musulman, un juif, un Chinois, bienvenue en France, dans la nouvelle famille Verneuil, dont les parents, Claude et Marie (Christian Clavier et Chantal Lauby), n'imaginaient sûrement pas en élevant leurs quatre ravissantes filles que trois d'entre elles convoleraient de façon si inattendue. Et qu'ils devraient faire le deuil de leur rêve de gendre idéal, de cérémonie à l'église, de petits-enfants blonds et blancs et bien d'autres choses encore. Vous pensez "préjugés et racisme"? "Pas du tout, répond le père, je suis gaulliste." Alors quand leur dernière fille leur annonce qu'elle a rencontré un jeune catholique, les Verneuil de Niort se sentent à nouveau pousser des ailes. Sauf que celle-ci a omis de préciser que le futur gendre était noir…

Tout ce qu’il faut pour tomber dans les clichés racistes que l’on a tous au fond de nous.

Toute la famille mettra son grain de sel pour essayer de faire capoter ce mariage. Même si l’on aborde un thème social de plus en plus récurrent sur le métissage des couples, il ne faudra pas voir en ce film une quelconque étude ou réflexion mentale. On est dans la comédie et le divertissement.

Clichés ?

Alors est-ce que l’on tombe dans les clichés ? Bien sûr ! Et c’est ça qui est drôle, tout le monde y a droit sans exception, tous les clichés possibles y passent, même le noir raciste des blancs. Il faut dire que Pascal N’Zonzi (André Koffi) est absolument génial en père de famille noir africain reprochant aux blancs d’avoir dépouillé sa terre de ses richesses.

Les blagues et allusions sont à prendre au premier degré et reflètent tous les préjugés racistes latents que l’on peut entendre, avec des personnages à l’opposé des clichés que l’on connaît. Bien sûr, la fin heureuse et le rapprochement de tous les gendres en fin de film pourrait faire cucul. Mais au final le but de cette comédie est de divertir et elle le fait.

Mon Avis :

Au niveau des acteurs c’est plus en demi-teinte. Il y a du bon et du moins bon. J’ai été surpris par Christian Clavier, mais le rôle de bourgeois catho lui va tellement bien, idem pour Chantal Lauby. En ce qui concerne les gendres en revanche, on commence à avoir du bon et du moins bon.

Ary Abittan est vraiment bon en juif poissard, Medhi Sadoun est tellement à l’opposé de son image des Kaira en avocat qu’il en devient vraiment méconnaissable, quant à Frédéric Chau et Noom Diawara ils sont plus neutres et lisses dans leur interprétation. Les quatre filles ne sont pas meilleures : passant presque inaperçues, elles ne sont là que pour faire le lien entre les gendres et les parents. Reste la famille Koffi qui comme je le disais est parfaitement jouée et rassemble tous les clichés possibles de la famille africaine, un régal.

Alors ?  Ce n’est pas la comédie de l’année mais elle fait parfaitement son boulot : divertir pendant une heure et demie. Que ceux qui veulent un film profond, donnant de la matière à des discussions de cocktail, oublient tout de suite ce film. Il ne fera avancer aucun débat ni changer la vision du monde, par contre il est parfait pour passer un bon moment et débrancher de la réalité tout en rigolant sur ce qui devient maintenant politiquement incorrect.

Peu de temps avant que le Roi Léonidas ne se sacrifie avec 299 de ses hommes, Thémistocle, stratège naval et héros de la première guerre entre Grecs et Perses, tente de réunir les cités-états pour mener la bataille contre les forces de Xerxès.

 Réussissant à arracher aux sénateurs quelques maigres navires, il prend la mer pour aller à la rencontre de la flotte monstrueuse du Roi Perse. Cette flotte est menée par la talentueuse Artémise. Dangereuse, vicieuse, Artémise est une grecque au passé mouvementé : sa famille massacrée par les hoplites, elle a été vendue comme putain sur un navire avant d’être laissée pour morte dans un port. Recueillie et soignée par l’ambassadeur Perse, elle a été entraînée et s’est vite affirmée comme la plus talentueuse des élèves. Gravissant les échelons, elle s’est rapidement imposée à la tête de la flotte navale.

 Elle a également facilité l’accession de Xerxès sur le trône.

Mon Avis :

 Outre ces effets répétés jusqu’à la nausée, le film souffre d’un gros manque d’originalité et d’une répétitivité consternante : il se résume à des combats, des discours patriotiques pour galvaniser les foules, et quelques très rares et très courts moments de calme pour faire un brin avancer l’histoire ou présenter les personnages. Le souci des combats, les discours patriotiques qui ne sauvent pas le film du marasme dans lequel il se plonge : pas de souffle épique, pas de foule transportée comme dans le premier opis : la faute à une écriture très moyenne, des dialogues simplistes et un acteur en-dessous de tout.

-          Un film de 1h40 qui aurait pu être expédié en 50 min.

-          Trop de combats au ralenti…

-          Des giclées de sang à chaque coup… trop de giclées de sang..

-          Un film qui se règle par la lutte et la violence perpétuelle… et une fois qu’ils en ont en marre avec ça, c’est                du sexe ou du viol… Au bout d’1h40, on est plus que refroidi. J’étais impatience de quitter la salle de ciné,                une première !!

-          Bref, un GROS NAVET !!

Le seul point positif, la présence d'Eva Green dans le casting, une actrice que j'aime bien, mais j'en resterai là....

Un film captivant, où l’on ne s’ennuie pas une seule seconde. Les émotions sont au rendez-vous et l’intrigue prenante. Tout le monde y trouve sa place. Bref un film à ne pas manquer !!

Tris vit dans un monde post-apocalyptique où la société est divisée en cinq clans :

-          Faction altruistes

-          Faction audacieux

-          Faction érudits

-          Faction fraternels

-          Faction sincères

Si vous deviez choisir une faction, quelle serait-elle ?

Tris, l’héroïne, était issue du clan des Altruistes. Suite au test qu’elle subit, censé révéler son aptitude à l’insertion au sein d’un clan, il s’avère que Tris est divergente. C’est à dire que son aptitude n’est pas représentative d’une seule et même faction. Tris va alors décider de rejoindre librement les Audacieux, tout en dissimulant son secret, afin de s’intégrer dans l’univers brutal des Audacieux dont l’entraînement est basé sur la maîtrise de nos peurs les plus intimes.

A savoir que chaque clan a ses caractéristiques propres.

Ainsi, les Altruistes sont toujours au service des plus démunis. Ce clan abrite souvent des Divergents, redoutés et traqués par les Érudits de peur que ces derniers ne viennent nuire et renverser le système social mis en place.

C’est ainsi que la faction des Érudits, cherchant à contrôler les autres clans et se pensant supérieure aux autres factions, va mettre en place un plan pour éradiquer les Divergents.

Les Audacieux, quant à eux, clan que Tris rejoindra, représentent l’ordre et la sécurité. Ce clan est en perpétuel mouvement, prêt à relever tous les défis. Cependant, les Érudits vont se servir d’eux en les manipulant dans le but d’éliminer le clan des Altruistes.

Deux autres factions moins représentées dans le film sont également présentes : les Sincères et les Fraternels. Les premiers représentent la justice et ne mentent jamais, quant aux seconds, ils sont proches de la nature, ils cultivent les terres et vivent simplement.

Divergente est un film grand public où chacun pourra y trouver son plaisir. Le mélange de science-fiction, romance et action avec quelques touches d’humour sur certaines répliques fait de Divergente un film complet.

Le scénario intriguant et attirant nous laisse réfléchir sur l’état social de notre société.

L’histoire reste passionnante et les scènes qui s’enchaînent ne nous laissent pas un moment tomber dans l’ennui.

L’ensemble reste captivant.

Le mélange savamment dosé entre science-fiction, romance et action m’a totalement séduite

 

Divergente sera l’un des meilleurs blockbusters e cette année 2014. La saga cinématographique qui va en découler ne pourra qu’alimenter l’appétit des cinéphiles et des bibliophiles pour ceux qui n’auraient pas encore lu les best-sellers associés de Veronica Roth. Divergente rejoint ainsi les histoires dystopiques telle que Hunger Games.

Hâte de voir le numéro deux en 2015 et le final ! En attendant, je compte bien me jeter sur les bouquins dès que possible….

Romain Faubert, un célibataire endurci d'une quarantaine d'années, souffre de la solitude en raison de son hypocondrie maladive.

De plus, son mode de vie particulier et sa profession atypique, photographe pour dictionnaire médical, ont tendance à le renfermer sur lui même et même à le rendre très pereux.

Cependant, Romain compte toujours à son seul  "ami" depuis 18 ans, son médecin traitant, le docteur Dimitri Zvenska, qui, après l'avoir supporté toutes ces années, n'aspire plus qu'à s'en débarasser une fois pour toute.

C'est pourquoi, Dimitri va tout faire pour essayer de lui faire rencontrer du monde, dans l'unique but que son ami trouve enfin l'amour. Mais pour ce faire, il tente par tous les moyens de l'aider à vaincre son hypocondrie, de l'aider à oublier ses problémes pour le rendre normal aux yeux des autres et surtout aux yeux des femmes que Romain rencontrent.

Cependant, suite à ce désir de rendre son ami normal, Dimitri va  conduire inconscienment ce dernier dans les bras de sa soeur, Anna. Un quiproquo s'installe alors entre les deux personnages. Anna, croyant que Romain est un célébre défendeur et chef d'un groupe révolutionnaire des pays de l'Est, va tomber amoureuse de ce dernier, à la grande surprise de Dimitri.

Ce quiproquo et cette histoire d'amour vont conduire Romain au fin fond des pays de l'Est, où il vainquera son hypercondrie en étant confronté à des conditions de vie déplorables et le rendront enfin normal aux yeux de tous.

Avis personnel:   - Retour du duo Dany BOON / Kad MERAD découvert à la suite du film "Bienvenu chez les Chtis".

                                  - Des scénes droles, mais je reste toutefois un peu déçue, je m'attendais à quelque chose de

                                    plus marrant au vue du casting.

En l’an 79, la ville de Pompéi vit sa période la plus faste à l’abri du mont Vésuve.

Milo, esclave d’un puissant marchant, rêve du jour où il pourra racheter sa liberté et épouser la fille de son maître.

Or il s'évère que ce dernier est criblé de dettes et a déjà, sous la menace, promis sa fille à un sénateur romain en guise de remboursement…

Manipulé puis trahi, Milo se retrouve à risquer sa vie comme gladiateur et va tout tenter pour retrouver sa bien-aimée. Au même moment, d’étranges fumées noires s’élèvent du Vésuve dans l’indifférence générale…dans quelques heures la ville va être le théâtre d’une des plus grandes catastrophes naturelles de tous les temps.

Avis Perso:    - Effets spéciaux sympas.

                          - De beaux costumes d'époques.

                          - Un scénario relativement plat (juste un esclave qui veut retrouver sa liberté et tombe amoureux de                               la fille de son maître).

                          - Des incohérences historiques plutot importantes  qui sauteront aux yeux des passionnés de

                            l'époque romaine.

                          - L'adaption d'un événement historique, qui tourne au tragique. On veut voir un film historique, et

                            même si on connait la suite, on se retrouve dans le film catastrophe bien stressant.

   En 1810, après le naufrage de ses navires, un marchand ruiné doit s’exiler à la campagne avec ses six enfants. Parmi eux se trouve Belle, la plus jeune de ses filles, joyeuse et pleine de grâce.
Lors d’un éprouvant voyage, le Marchand découvre le domaine magique de la Bête qui le condamne à mort pour lui avoir volé une rose.
Se sentant responsable du terrible sort qui s’abat sur sa famille, Belle décide de se sacrifier à la place de son père. Au château de la Bête, ce n’est pas la mort qui attend Belle, mais une vie étrange, où se mêlent les instants de féerie, d’allégresse et de mélancolie.
 Chaque soir, à l’heure du dîner, Belle et la Bête se retrouvent. Ils apprennent à se découvrir, à se dompter comme deux étrangers que tout oppose. Alors qu’elle doit repousser ses élans amoureux, Belle tente de percer les mystères de la Bête et de son domaine.
 Une fois la nuit tombée, des rêves lui révèlent par bribes du passé de la Bête. Une histoire tragique, qui lui apprend que cet être solitaire et féroce fut un jour un prince majestueux.
Armée de son courage, luttant contre tous les dangers, ouvrant son cœur, Belle va parvenir à libérer la Bête de sa malédiction. Et se faisant, découvrir le véritable amour.

Ce film est en réaliré l'adaptation du conte de Madame de Villeneuve, publié anonymement en 1740 sous le titre "La jeune Américaine et les contes marins.".

Avis Perso:  - De superbes décors et coustumes. 

                        -  Une bonne mise en scéne qui s'inspire réellement du conte.

                        - De bons effets spéciaux qui ne prennent pas de proportion démeusurée et inscrivent

                          parfaitement dans le scénario.

                         - Une tout autre version de celle proposée par le dessin animé  de Walt Disney, ce qui permet de

                           découvrir un autre aspect du duo de la Belle et de la Bête.

                         - Le seul point négatif est l'absence de Lumière, BigBen, Mrs Samovar et Tim: j'aurais aimé 

                           voir comment ils pouvait être représentés.

Hier soir, je suis allée au ciné avec des amies pour voir le film biographique "Yves Saint Laurent"., par Jalil LESPERT.

C'est avec enthousiasme que j'ai assisté à ce film, retraçant l'histoire torturée du styliste français que j'affectionne le plus.

Ce film débute à Oran (en Algérie) afin de découvrir Yves Saint Laurent tout juste adolescent, et passer très rapidement à ses débuts dans le milieu de la Mode, au sein de la Maison Dior, la maison de haute couture la plus prestigieuse de l'époque.

C'est alors qu'il rencontre Pierre Berger, son  compagnon et ami, qui le soutiendra et l'accompagnera à jamais.

Suite à des troubles psychologiques et son renvoi de la Maison Dior, Yves crée sa maison de couture: Yves Saint Laurent, le tout avec l'éternel soutient de son ami, Pierre Berger.

Ce projet permet au personnage éponyme de continuer à pratiquer son Art, d'exercer son génie, tandis que Pierre s'occupe des affaires de la société avec force et rigeur.

Deux personnages que tout oppose de part leur personnalité bien différente: l'un étant fort et puissant, l'autre faible et torturé.

Mais pour autant, cette relation se traduit par un lien fusionnel qui unit ces deux personnages complémentaires, chacun ayant besoin de l'autre.

Malgré la torture éprouvée par le génie, Pierre Berger sera toujours présent aux cotés d'Yves pour le protéger du monde extérieur, mais également de lui même, car Yves n'hésite pas, comme bon nombre d'artistes torturés, à mettre sa vie en danger par le biais de diverses dérives humaines...

Ce film nous plonge dans la vie d'un génie incontournable de la mode, qui a libéré la femme part ses coups de crayons et de ciseaux.

On se souviendra d'Yves Saint Laurent  comme d'un homme qui se voulait discret, fin et élégant, mais qui n'hésitait toutefois pas à choquer pour faire évoluer le vestiaire féminin!

Un homme admiré de beaucoup pour son génie et son Art, mais un homme qui s'avérait être dépressif et torturé au plus profond de lui même.

Mais peut être que sans cette torture, Yves serait resté à Oran avec de simples croquis et ne serait jamais devenu Yves Saint Laurent!

La Mode passe...

... Le style est éternel !

Voir la Bande Annonce Officielle du film:    http://www.youtube.com/watch?v=fkJmDfmEams